GART Sud

Dans son rôle d’autorité organisatrice des transports aux compétences élargies et de chef de file de l’intermodalité, la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur souhaite améliorer les conditions de mobilité des habitants de son territoire et augmenter l’usage des alternatives à la voiture individuelle. La stratégie régionale des transports a fixé quatre axes concrets et opérationnels de travail en faveur de l’amélioration de la mobilité dans la Région : simplifier la vie du voyageur ; adapter et expérimenter de nouveaux services ; promouvoir l’offre et l’utilisation des transports en commun propres ; poursuivre le dialogue avec les usagers et les acteurs des transports. L’arrivée de la loi d’orientation des mobilités (LOM) confère à la Région de nouvelles missions de développement de la mobilité, en concertation avec les Autorités organisatrices de la mobilité du territoire régional. Dans cette nouvelle démarche, elle souhaite poursuivre et organiser les relations partenariales avec ces AOM.

Dans ce cadre, la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur a souhaité s’appuyer sur le GART et c’est pour répondre à ses objectifs que la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur et le GART ont lancé le GART Sud, le 6 novembre 2020. La présidence est assurée par Renaud Muselier – président de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur – qui en a délégué l’exercice à Philippe Tabarot – conseiller régional et sénateur des Alpes-Maritimes. Quatre sujets prioritaires ont été identifiés en lien avec les enjeux des territoires que le GART Sud prendra en compte et animera ou co-animera avec les services des Autorités organisatrices concernées :
– L’intermodalité et la chaîne de mobilité : points d’arrêts, coordination et complémentarité des offres ;
– Le financement de la mobilité et la fiscalité : le niveau de fiscalité et la marge de manœuvre potentielle, le budget de financement des EPCI en matière de mobilité ;
– La dimension environnementale et le développement des modes doux : verdissement des flottes, mutualisation des centres de ravitaillement, articulation des modes doux dans les déplacements actuels ;
– L’accès au service public : quelles solutions pour les zones peu denses, l’innovation et l’expérimentation.

Pour consulter l’ensemble du contenu, connectez-vous à votre espace adhérent.